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Etre perçu comme blanc ou blanche, c’est faire partie du groupe dominant. C’est se prendre pour la norme », et à ce titre, ne pas se poser tout un tas de questions que les personnes perçues comme noires, arabes, latinos, métisses, non-blanches » en résumé, se posent en permanence. C’est être habitué à se ressentir comme universel », normal », quand les personnes racialisées* sont encore trop souvent, au quotidien et dans le langage, perçus comme les autres ».D’où l’inconfort ressenti par une partie des personnes blanches qui ont vu le titre du dernier livre de Lilian Thuram, La Pensée blanche éditions Philippe Rey, sans en avoir lu le contenu. Vous pensiez qu’il s’agissait d’un manifeste anti-blancs ? Vous êtes blanc et vous avez l’impression que c’est dirigé contre vous ? Non. Car vous n’êtes pas blanc, dit Lilian Thuram. Pas plus que lui n’est noir. Ce sont des concepts, inventés pour dominer. Et ce livre le démontre avec brio et pédagogie tout à la Minutes a rencontré l’auteur qui bouscule nos conceptions que nous avons aussi interrogé, plus tard, sur le match PSG-Basaksehir. La pensée blanche », qu’est-ce que c’est ? Est-ce que c’est la fabrication et l’utilisation de la race et des hiérarchies de race pour dominer ?C’est exactement ça. C’est une idéologie politique qui a divisé les êtres humains en prétendues races qui seraient liées à une prétendue couleur de peau. Je dis prétendue » car on utilise des catégories liées à la couleur de peau qui sont fausses. J’ai eu cette expérience avec mon fils Khephren. Je lui ai dit mon amour tu es le seul petit garçon noir de ta classe ? » Il me dit Ben Papa, je suis pas noir, je suis marron ! ». Je lui ai demandé de quelle couleur étaient les autres de sa classe. Il m’a répondu Ils sont roses ! ». Nous utilisons des catégories liées à la couleur de la peau mais nous ne connaissons pas l’histoire de ces catégories. Jusqu’en 1950 on disait aux enfants à l’école qu’il y avait une race supérieure, la race blanche. Donc c’est très très proche de parlez un peu de vous dans le livre, notamment de votre famille aux Antilles qui, dites-vous, a subi un avortement ne s’en rend pas compte mais très souvent cette pensée [blanche] voudrait dire que certaines familles auraient trop d’enfants. Et d’ailleurs on ne dit pas les familles », on dit les femmes » ont trop d’enfants. Les enfants d’une certaine partie du monde sont célébrés, d’autres non. Donc il faudrait contrôler le nombre d’enfants qu’elles pourraient avoir. Dans ma famille en Guadeloupe, il y a eu des personnes qui ont été touchées par ça, elles ont été Thuram, le 2 décembre 2020, au siège de sa fondation. - Christophe Saïdi / SipaVous dites qu’il existe non pas un racisme d’État, mais un racisme institutionnel. Quelle est la différence pour vous ?Le racisme d’État ce sont des lois racistes, et ce n’est plus le cas en France. Il fut un temps, il y avait ce qu’on appelait le code noir, c’était des lois racistes faites par le pouvoir [Un texte qui entérine et encadre l’esclavage dans les colonies françaises]. Le code de l’indigénat, c’est un texte qui dit que selon votre couleur de peau, vous n’avez pas les mêmes droits. Quand je parle de racisme institutionnel, c’est la suite de cela. Ce n’est pas parce qu’il n’y a plus de lois sexistes, que le sexisme n’existe pas dans les institutions. Parce que les institutions sont avant tout une histoire d’hommes et de femmes. Prenons la police. En France, selon votre couleur de peau, vous ne vivez pas le même rapport avec la police. Certaines personnes sont plus contrôlées que d’autres [Les jeunes Noirs ou Arabes ont 20 fois plus de chances d’être contrôlés par la police par rapport à la population générale]. Est-ce acceptable ? Vous racontez votre enfance à Avon, puis au club de foot de Fontainebleau. C’est là que vous avez appris à voir d’où l’on parle ». Pourquoi est-ce important selon vous ?Si vous ne réfléchissez pas et ne comprenez pas que vous parlez d’un point de vue précis, vous finissez par croire qu’il n’y a pas d’autres façons de penser. Sinon il y a des incompréhensions, c’est dans la discussion qu’on va comprendre pourquoi nous n’avons pas les mêmes approches. Je prends l’exemple de Christophe Colomb dans le livre. J’ai demandé à des enfants, lors d’une intervention dans une école, s’ils connaissaient Christophe Colomb ». Ils et elles m’ont répondu ben oui, c’est celui qui a découvert l’Amérique ». Alors je suis sorti de la classe. J’ai ouvert la porte en revenant et je leur ai dit J’ai découvert la classe ! ». Les enfants se sont exclamés Ça marche pas, on était déjà là ». Et je leur dis que c’était pareil quand Christophe Colomb avait débarqué dans les Amériques il y avait déjà du monde ! J’ai entendu des ah ouais ? ».Les personnes noires aussi intériorisent la pensée blanche, pensée blanche induit l’idée qu’être blanc, c’est mieux. Comme le monde occidental a colonisé la terre, cette façon de penser a été une pensée-monde, et aujourd’hui encore beaucoup de personnes pensent qu’être blanc c’est mieux. Quand ma mère était jeune on – des personnes noires – lui disait qu’il était préférable de se marier avec quelqu’un qui avait la peau plus claire pour avoir des enfants qui auraient la peau chappée », c’est-à-dire échappée du noir. Et il suffit de regarder ce qui se passe en Asie, en Inde, en Afrique, très souvent les femmes se blanchissent la peau. Il y a l’idée que la beauté serait blanche. Des expériences le prouvent comme celle des poupées on prend une poupée noire et une blanche, et on demande à des enfants de dire la poupée la plus jolie, la plus méchante, etc. et les enfants mettent tout ce qui est positif sur la poupée blanche et tout ce qui est négatif sur la poupée Thuram, le 2 décembre 2020, au siège de sa fondation. - Christophe Saïdi / SipaPour excuser Colbert, Montesquieu ou Jules Ferry qui défendaient le racisme et la colonisation, certains et certaines disent qu’à l’époque tout le monde pensait comme eux. Vous dites que c’est faux le député Camille Pelletan ou Georges Clémenceau s’y sont la construction de ces catégories, si on ne rappelle pas qu’il y a toujours eu des hommes et des femmes qui se sont levées contre les injustices, on pourrait finir par croire que tout le monde pensait comme ça. On essaye de vous dire qu’on ne peut pas échapper à la catégorisation. Or on peut y échapper, quand on se positionne en tant qu’être humain. C’est dire que ces catégorisations sont des constructions voulues et pas naturelles. Et ce ne sont pas les pauvres qui ont construit ces catégories. Cela sert une idéologie économique. Diviser les gens en catégories liées à la couleur de peau, c’est casser les faites très souvent des comparaisons avec les femmes et avec la domination masculine. Pourquoi ? Et est-ce qu’étudier le racisme rend féministe ?Ce sont les mêmes mécanismes de domination. Dans la catégorisation ce qu’on essaye de faire oublier c’est que nous sommes des êtres humains. Quand il y a des catégories, il y en a toujours une qui est positionnée en tant que norme », qui ne dit pas qu’elle est tant que neutre »… Le masculin générique » en grammaire…Exactement. Et comme ceux qui sont dominants, qu’ils le veuillent ou non, n’ont pas conscience qu’ils sont dominants, il faut les interpeller. Je devais faire un travail autour du sexisme et on regardait toujours le pourcentage de femmes. On disait il n’y a que 10 % de femmes ». Et je leur disais non ce n’est pas ça qu’il faut dire, il faut dire qu’il y a 90 % d’hommes. Tout d’un coup les hommes regardent autour et se sentent menacés. C’est une façon de prendre conscience. La plupart d’entre nous n’avons pas conscience de ce que nous ne vivons pas. Moi-même en tant qu’homme j’ai pris du temps avant de comprendre que l’espace public n’était pas vécu de la même façon si vous étiez un homme ou une fustigez une certaine forme d’universalisme. Et vous prônez un universalisme renouvelé, un en commun ». ce qu’on vient de dire mettre en commun les différents regards pour grandir ensemble. Sauf que certains voudraient que leur seul regard soit considéré comme l’universel. Moi quand j’entends universel j’entends pluralité. Cela commence par écouter. L’idée c’est qu’on puisse grandir en tant qu’êtres humains. Malheureusement certains et certaines disent défendre l’universalisme mais ne veulent pas dénoncer le affirmez être du côté de celles et ceux qui ont déboulonné la statue de Victor Schœlcher [qui a négocié puis décrété l’abolition de l’esclavage, le 27 avril 1848]. N’est-ce pas contradictoire avec votre volonté de mettre en avant les personnes qui ont lutté contre le racisme ? La Fondation pour la mémoire de l’esclavage par exemple a condamné cet peut-être parce que je suis Antillais, je suis de la Guadeloupe et j’aimerais qu’on retienne celles et ceux qui ont combattu l’esclavage, qui se sont libérés par eux-mêmes. Ce sont les révoltes qui font que les institutions changent. Tous les mouvements d’égalité sont venus du peuple. Que Schœlcher soit dans les musées, c’est normal. Mais dans l’espace public, il faut éduquer les enfants à comprendre que ce sont les opprimés qui font changer la réalité. On oublie que ce sont les esclaves qui ont gagné leur liberté…Vous dites que la pensée blanche n’est pas la pensée des blancs ». Pourquoi alors l’appeler pensée blanche » ? Pourquoi ne pas avoir dit pensée raciste blanche » ? Les féministes par exemple ne parlent pas ou peu de pensée masculine », elles vont plutôt parler de pensée sexiste, machiste. Ou de domination masculine. Est-ce qu’il n’y a pas un risque d’amalgamer blanc et raciste ?Le titre du livre n’est pas la pensée des blancs ». Pourquoi certaines personnes font-elles l’amalgame ? Parce qu’elles sont dérangées quand elles entendent le mot blanc ou blanche. Cela m’interpelle. Certaines personnes ne veulent pas lire le livre seulement à cause du titre. La pensée blanche n’est pas la pensée que des blancs, c’est cette idée qu’ être blanc, c’est mieux », et comme je vous ai dit, peu importe votre couleur, ne sommes-nous pas éduqués à le penser ?Lilian Thuram, le 2 décembre 2020, au siège de sa fondation. - Christophe Saïdi / SipaC’est ce que dit aussi l’ex porte-parole du parti des Indigènes de la République Houria Bouteldja, que les blancs, ce ne sont pas que les personnes blanches. Blanc devient alors synonyme de capitaliste, bourgeois, occidental, libéral, raciste… Mais, et c’est ce que dit Martine Storti dans son dernier livre, est-ce que ce n’est pas tout mélanger ?L’invitation que je fais, c’est questionner les identités. On n’est pas obligé d’accepter le masque blanc, ou noir, ou féminin, masculin. Peut-être qu’il faut retourner la question aux gens pourquoi percevez-vous des amalgames, là où il n’y en a pas ? Pourquoi se sent-on amalgamé par ça, dans quelque chose où on ne voudrait pas être ? Parce que peut-être vous vivez pleinement cette catégorisation et vous ne réfléchissez pas en dehors de cette catégorie. Beaucoup de personnes disent qu’elles ne voient pas les couleurs, mais la réalité c’est que vous les voyez. Je pose souvent une question aux gens dans mes conférences Qui ici voudrait être traité comme on traite les personnes non blanches ? » Et personne ne lève la main. Donc elles ne demandez pas aux personnes qui se perçoivent comme blanches de la culpabilité, mais de la surtout déjà de la connaissance. J’arrive à parler de ces sujets calmement parce que j’ai appris l’histoire du racisme. Nous sommes responsables du changement. Quand on entend parler de repentance, de culpabilisation, ce ne sont jamais les personnes qui subissent le racisme qui le demandent. Ce sont les personnes en livre se termine par un plaidoyer pour le respect de la Terre. Et pour vous, la destruction écologique est l’œuvre de la pensée pensée blanche est surtout un système économique qui a hiérarchisé les êtres humains et construit l’idée que la nature était à sa disposition. Dans les deux cas, on légitime l’exploitation. C’est important de rappeler cela et de revenir à une certaine humilité. J’essaye de dire que toute espèce vivante est condamnée à la survie. Il y a tout intérêt à sortir de ce système parce que la nature peut faire sans nous.* L’idée de racialisation » renvoie plus directement à la construction sociale des groupes raciaux, par rapport à l’emploi du terme racisé ».
Cétaient des tabliers blancs d’un modèle super classique: une demi jupe qui était noué autour de la taille, surmontée d’une bavette avec des bretelles à volants qui se croisaient dans le dos et se fixaient dans la taille. La bavette et le bord de chaque tablier étaient décorés par de la broderie colorié – des petites fleurs, papillons, et autres petits dessins- faite à la
1 J’suis africain et il a tort. C'était probablement mieux avant qu'ils arrivent également Le 28 juillet 2021 à 161250 C'était probablement mieux avant qu'ils arrivent égalementLui il y vit. Toi tu vis chez les blancs. Le 28 juillet 2021 à 161213 J’suis africain et il a j'imagine que tu vis en Afrique et pas en Europe et j'imagine aussi que tu as vécu les deux époques Le 28 juillet 2021 à 161213 J’suis africain et il a famoso [161329] Le 28 juillet 2021 à 161250 C'était probablement mieux avant qu'ils arrivent égalementLui il y vit. Toi tu vis chez les réponds à côté mais ça me contredit pas Et attendez encore quelques années que le Chinois contrôle tout en Afrique, ça sera bien pire... Le 28 juillet 2021 à 161512 [161329] Le 28 juillet 2021 à 161250 C'était probablement mieux avant qu'ils arrivent égalementLui il y vit. Toi tu vis chez les réponds à côté mais ça me contredit pasIl y vit donc il connait mieux la situation qu'un mec qui vit chez les blancs qu'il méprise. [161644] Le 28 juillet 2021 à 161512 [161329] Le 28 juillet 2021 à 161250 C'était probablement mieux avant qu'ils arrivent égalementLui il y vit. Toi tu vis chez les réponds à côté mais ça me contredit pasIl y vit donc il connait mieux la situation qu'un mec qui vit chez les blancs qu'il méprise personne Valentin, alors arrête tes arguments ad personam. Et le mec en question a probablement vécu toute sa vie quand justement les blancs étaient sur place. Avec la Chine ca va etre bien mieux qu au temps des blancs. Il faut lire "Afrique l'histoire à l'endroit" . Mais certains ne sont pas prêt pour la redpill il a raison, point barreon s'en branle de l'avis des africains "black lives matters" nés en France qui ont jamais foutu un pied en Afrique Que ça ait pu être mieux ou non, osef, on n'y remettra pas les pieds. 1 Cétait le temps d'Intervilles en noir et blanc, créé en 1962. Et, heureusement, Simone Garnier était là quand Guy et Léon étaient "perdus dans les points". Dans sa carrière, Simone n'aura pas juste été l'indissociable comparse télévisée de Guy Lux (à la présentation du Schmilblick aussi). Elle a fait partie, en tant qu'arbitre, d'un trio féminin aux côtés d'Evelyne
Accueil Hauts-de-France Hazebrouck Il a 59 ans, est marié et père de deux enfants, cadre chez Bonduelle et nouveau président des Papillons blancs d’Hazebrouck depuis quelques jours. Entretien avec Patrick Bève. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter L'info en continu 19h09 TV - Streaming Video Florence Cassez, mineurs, pêcheurs… Trois documentaires à ne pas manquer sur Netflix et Arte 18h45 Boulogne-sur-Mer Hardinghen un homme se tue dans un accident de moto 18h32 France Video Mort de Sempé 300 personnes sont venues dire un dernier au revoir» au créateur du Petit Nicolas 18h09 Braderie de Lille Video Moules-frites, grosse drache et poulet rôti ces histoires qui font la Braderie de Lille 17h50 Coupe du Monde Équipe de France N’Golo Kanté victime d’une blessure sérieuse» à trois mois de la Coupe du Monde Toute l'info en continu >
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Une jeune guide âgée de 26 ans et sa cliente de 30 ans ont été retrouvées mortes vendredi en fin de journée dans le massif du Mont-Blanc Alpes à Chamonix, a indiqué samedi la gendarmerie de Chamonix. La guide est Adèle Milloz, championne du monde de ski alpinisme. le peloton de gendarmerie de haute montagne PGHM de la commune de Chamonix pendant un exercice. PHOTO D’ILLUSTRATION. - AFP Publié 13 Août 2022 à 15h03 Modifié 13 Août 2022 à 15h20 Temps de lecture 2 min Les corps de deux jeunes femmes, toutes deux Françaises, ont été trouvés dans une face de l’aiguille par des témoins qui parcouraient également le sommet et qui ont passé l’alerte », a expliqué le peloton de gendarmerie de haute montagne PGHM de la commune de Chamonix. Elles ont été découvertes vers 18h15 » vendredi, après avoir chuté alors qu’elles empruntaient la voie normale de l’aiguille du Peigne. Il s’agit d’un accident et une enquête pour déterminer les causes de celui-ci est en cours, a ajouté cette même source. L’une des deux victimes est Adèle Milloz, précise le Dauphiné Libéré. Une jeune femme bien connue dans la région. Elle était championne du monde de ski alpinisme en sprint et individuel en 2017 et avait terminé à la 5e place de la Pierra Menta en 2018. La haute montagne est devenue plus dangereuse avec la sécheresse mais l’accès ne faisait pas l’objet d’interdiction particulière », a précisé le PGHM. Le 5 août, deux refuges permettant l’ascension du Mont-Blanc ont été fermés en raison du danger de mort » que représentent de nombreuses chutes de pierres dues à la sécheresse. Lire aussi Mort de Sempé 300 personnes sont venues dire un dernier au revoir» au créateur du Petit Nicolas Les prix des billets d’avion ont explosé en un an et ça ne pourrait être qu’un début Variole du singe feu vert pour la technique d’injection intradermique, une décision extrêmement importante» Poursuivez votre lecture sur ces sujets Alpinisme Chamonix-Mont-Blanc Haute-Savoie Prendre a coeur notre environnement Aucune commune ne devrait imposer un projet architectural d'ampleur sans un referendum. Sur l'escaut...Lire plus
Jepense que la musique était éféctivement bien meilleur avant et cela dans tout les styles, Rock, Metal, Blues, Funk, Rap ect ect. Maintenant il y a aujourd’hui beaucoup de musique fantastique mais en terme de proportion on est passé de 1contre 1 000 000 d’avoir l’oportunité de trouver une musique de qualité actuel. l.
fin de la vente 21/12/2021 A l’origine de ce Domaine mythique du Mâconnais, fondé en 1840, il y a la passion pour le vin de Jean-Alfred Ferret, instituteur, et de son fils Antoine, dentiste de son état. A côté de leur métier, ils cultivent quelques lopins de vignes sur les coteaux du village de Fuissé. Mais c’est l’arrivée de Jeanne Ferret, dans les années 1930, qui va véritablement faire entrer le Domaine dans son ère moderne » et surtout, voir ses formidables vins blancs s'installer parmi les incontournables de la Bourgogne. Véritable sommité de la région, Jeanne Ferret, qui dirigea le domaine jusqu’à sa disparition en 1993, révolutionna l’approche du vin et des vinifications dans ce bel écrin de Fuissé. Pionnière locale de la mise en bouteille au Domaine, dès 1942, elle fut aussi la première à comprendre et mettre à profit l’extraordinaire diversité géologique des sols et sous-sols de cet amphithéâtre naturel. Très vite, elle se lance dans l’élaboration de cuvées parcellaires racées, qui rivalisent en qualité et en complexité avec les meilleurs crus de la Côte de Beaune. Elle va jusqu’à établir dès les années 1970 une véritable classification des terroirs de Fuissé, avec en tête les terroirs Hors Classe comme Les Ménètrières ou Tournant de Pouilly et les terroirs Tête de Cru comme Les Perrières ou Le Clos. A l’heure du classement de certains terroirs de Fuissé en Premier Cru, les analyses scientifiques des sols récemment effectuées ont montré toute la justesse des intuitions et des observations menées par Jeanne Ferret en son temps. En effet, la diversité géo-pédologique du finage de Fuissé est absolument unique en Bourgogne. Les sols peuvent être minces, issus de calcaires durs, ou bien profonds et argileux, riches en marnes. Plus singulier encore, on trouve aussi des schistes ou des grès volcaniques qui préfigurent la géologie des Monts du Beaujolais tout proches. Chailles et silex sont souvent présents en surface, renforçant la minéralité et la finesse des vins. Cette diversité bien comprise des sols et des terroirs et la science de plusieurs générations de femmes vigneronnes – Colette Ferret succéda à sa mère Jeanne, jusqu’en 2006 – ont permis d’élaborer de sublimes blancs, exclusivement issus de chardonnay, à la fois amples et puissants, purs et cristallins, d’une sophistication impressionnante. Des cuvées qui font depuis longtemps l’admiration de toute la planète vin. Robert Parker n’hésitait d’ailleurs pas à écrire, en son temps, qu’il trouvait là son Montrachet du Mâconnais » ! Après le rachat de ce domaine historique par la Maison Louis Jadot en 2008, c’est une jeune vigneronne, oenologue brillante, Audrey Braccini, qui se vit confier la lourde responsabilité de succéder aux Ferret, mère et fille. Disons-le tout net non seulement, Audrey a relevé le défi avec maestria mais elle a réussi à faire évoluer subtilement le style des vins du Domaine. S’ils portent en eux les marqueurs des grands terroirs de Fuissé, avec cet équilibre remarquable entre densité crémeuse et verticalité minérale, ils ont, au fil des millésimes, encore gagné en raffinement et en élégance. Ils sont parfaitement structurés autour d’une tension énergique et dynamisante. Comme les Ferret avant elle, Audrey s'est totalement mise au service des terroirs. Elle n’a pas hésité, pour cela, à adopter les principes de l’agriculture biologique et de la bio-dynamie. Elle veille, avec son équipe, à ajuster sans cesse les pratiques à la typicité de chacune des 50 parcelles et 17 hectares que compte le Domaine, riche de cette formidable mosaïque géologique des finages de Fuissé et Vergisson. Elle perpétue le travail régulier des sols et le maintien d’une diversité de flore dans et autour de la vigne. En outre, elle a encore affiné et allongé les élevages, utilisant finalement assez peu de bois neuf des élevages qui s’avèrent aujourd’hui d’une précision et d’une classe remarquables. Le millésime 2019 se distingue par la qualité exceptionnelle de ses équilibres, avec des aromatiques intenses, particulièrement bien définies, entre grâce et fraîcheur florale, pureté jaillissante et concentration du fruit, énergie des agrumes et cette verticalité apportée par les sols calcaires. La netteté des contours de bouche est admirable, tout comme la profondeur et la persistance des vins. Malheureusement, ce millésime s’illustre aussi par des rendements très faibles, comparables à ceux de 2012 ou 2016, deux années marquées par le gel et la grêle. Début avril, il y eut un épisode de gel qui a particulièrement affecté les vignes situées sur les plateaux. Le temps froid entre mai et début juin, tout comme le vent incessant, ont également perturbé une floraison tardive, entraînant coulure et millerandage. Si l’on ajoute à cela une première partie d’été particulièrement chaude, avec plusieurs pics caniculaires, on comprend pourquoi les rendements des vendanges, débutées le 10 septembre, n’ont pas atteint les 30 hectolitres en moyenne soit une chute de près de moitié par rapport à l’année précédente. La bonne nouvelle, c’était la qualité des jus, avec des acidités scintillantes que l’on n’attendait pas sur ce millésime réputé solaire. Cuvée après cuvée, on se dit qu’on atteint un point d'harmonie absolument fascinant le charme, l’élégance, l’intensité, le relief et la profondeur, tout y est. Déjà parfaitement en place, et pour longtemps. Du grand art, qui conforte la place d’Audrey Braccini parmi les grandes dames du vignoble et confirme le statut incontournable des vins de Ferret pour les amateurs de grandes expressions du chardonnay bourguignon… Dernière minute pour compléter ce très rare 2019, retrouvez les toutes dernières bouteilles disponibles du millésime 2018, plein et chatoyant. © 2021 La Route des Blancs – Tous droits réservés Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Le Clos 2018 Pépite du Domaine, ce Tête de Cru Le Clos », suivant la classification élaborée par la visionnaire Jeanne Ferret, se distingue par sa sophistication florale et poétique au nez, et sa remarquable profondeur de bouche ! Puissant, enveloppant et imprégné d’une minéralité épicée, son potentiel de garde est évident. Il honorera des crustacés… Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Bon d’achat Fidélité 3 % Bon d’achat Fidélité % Bon d’achat Fidélité 3 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Hors-Classe Les Ménétrières 2019 Hors Classe que dire de plus ? Ce vin joue effectivement dans la cour des grands. Puissant, dense et structuré, il assume sa sensualité beurrée très bourguignonne tout comme la gourmandise des fruits blancs et jaunes bien mûrs. La finesse calcaire et la densité des argiles nous jouent un superbe pas de deux. L’avenir s’annonce radieux. Note moyenne des guides 94/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité % Bon d’achat Fidélité % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Clos des Prouges 2019 On monte d’un cran dans la sensualité et l’expression résolument voluptueuse, profonde et gourmande des terroirs de Pouilly-Fuissé. Les fleurs sont suaves, capiteuses, les fruits bien mûrs se dégustent en coulis, l’abricot, la prune jaune et la mangue font leur apparition, tandis que le sol leur donne une dimension épicée voire flambée. Un délice. Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Bon d’achat Fidélité % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Les Perrières 2019 Futur 1er Cru, ce Perrières mystérieux et onirique nous enchante par son extraordinaire fraîcheur, sa verticalité minérale et l'éclat subtil de son fruit. Aérien et planant, ciselé, juteux et finement minéral en bouche, il offre une imbrication parfaite des fruits frais et du sol calcaire. On a envie de gambas grillées ou d'un bar en croûte de sel. Note moyenne des guides 94/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Magnum Pouilly-Fuissé Tête de Cru Le Clos 2019 Ce Tête de Cru Le Clos », suivant la classification de Jeanne Ferret, réunit le meilleur des deux mondes la finesse, la verticalité et le raffinement floral qui regarde du côté de Puligny-Montrachet ou de grands terroirs chablisiens, la sensualité gastronomique, la concentration et la profondeur épicée du millésime. Idéal sur des langoustines. Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Le Clos 2019 Ce Tête de Cru Le Clos », suivant la classification de Jeanne Ferret, réunit le meilleur des deux mondes la finesse, la verticalité et le raffinement floral qui regarde du côté de Puligny-Montrachet ou de grands terroirs chablisiens, la sensualité gastronomique, la concentration et la profondeur épicée du millésime. Idéal sur des langoustines. Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Autour de la Roche 2019 Dense, sensuel et puissant, "Autour de la Roche" est issu d’un assemblage de parcelles aux sols variés, autour de la Roche de Vergisson. Ce Pouilly-Fuissé, charnu et charnel, nous emmène plutôt du côté yang, entre fruits blancs compotés, agrumes confits et épicés puissantes. Sa longueur et sa sapidité lui donnent des airs murisaltiens. Note moyenne des guides 91/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé 2019 Cet "ambassadeur" des terroirs de Fuissé épate par la sensation de fraîcheur et d’élégance florale qu’il dégage, soulignée par une arête calcaire, aux accents marins, d’une grande pureté. Le charme gourmand du fruit mûr s’équilibre avec une structure minérale, à la densité tannique, et sa nature épicée. On entre dans le millésime par la grande porte ! Note moyenne des guides 92/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Hors-Classe Les Ménétrières 2018 Hors Classe que dire de plus ? Ce vin joue effectivement dans la catégorie des monstres sacrés ». Vin de structure et de raffinement par excellence, ce Pouilly-Fuissé Les Ménètrières nous emporte très haut de la matière, une maturité parfaite, une intense énergie, un noyau fruité d'une profondeur insondable, tout y est. Grand. Note moyenne des guides 94/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité % Bon d’achat Fidélité % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Clos des Prouges 2018 En 2018, ce Clos des Prouges se montre d’ores et déjà plutôt ouvert et superbement expressif, dans un registre à la fois joliment floral et sensuel. Passée une note délicatement grillée, on voyage entre les fleurs blanches, le laurier frais, l’aneth d’un côté, le miel, le nougat, la crème de fruits blancs et le melon mûr de l'autre. Succulent. Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Les Perrières 2018 Futur 1er Cru, ce Perrières nous enchante par sa verticalité minérale et l'éclat jaillissant de son fruit. Elégant et subtil, imprégné de l'énergie épicée puisée dans le sol, toujours élancé, il nous impressionne par sa droiture, sa pureté d'arômes, son élan et sa persistance. Un grand vin parfait sur une sole meunière ou une raie au beurre noir. Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Le Clos 2018 Pépite du Domaine, ce Tête de Cru Le Clos », suivant la classification élaborée par la visionnaire Jeanne Ferret, se distingue par sa sophistication florale et poétique au nez, et sa remarquable profondeur de bouche ! Puissant, enveloppant et imprégné d’une minéralité épicée, son potentiel de garde est évident. Il honorera des crustacés… Note moyenne des guides 92/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Autour de la Roche 2018 Dense, minéral et profond, "Autour de la Roche" est issu d’un assemblage de différentes parcelles aux sols variés, situées autour de la Roche de Vergisson. Ce Pouilly-Fuissé, sans concession, vertical, savoureux et profondément ancré dans son terroir, impressionne par sa complexité. Ici, on regarde du côté des crus murisaltiens les plus calcaires! Note moyenne des guides 91/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé 2018 Ce véritable "ambassadeur" des terroirs de Fuissé, d’une grande finesse minérale et d’une pureté de saveurs remarquable, pourra être goûté dès aujourd’hui ! Très expressif, entre calcaire, noisette grillée, poire juteuse et raffinée, peau d’agrumes et de nombreuses épices coriandre, poivre, gingembre…, c’est un ravissement de tous les instants ! Note moyenne des guides 91/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé 2016 Pour tous les impatients, ce véritable "ambassadeur" des terroirs de Fuissé peut être apprécié à sa juste valeur dès maintenant ! On retrouve en bouche cette densité enveloppante typique de ce millésime 2016 concentré. On aime la sensualité des fruits blancs mûrs, parfaitement équilibrée par une minéralité saline qui fait vibrer le vin sur le palais. Note moyenne des guides 89/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Le Clos 2017 Véritable joyau du Domaine, ce Tête de Cru Le Clos » se distingue par la vertigineuse sensation de profondeur qu'il dégage ! Ce terroir particulier, argilo-limoneux en surface, donne au vin cet incroyable équilibre entre puissance et raffinement, crémosité et tension rafraîchissante. Un grand vin de gastronomie pour magnifier poissons et crustacés en... Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Clos des Prouges 2017 En 2017, ce Clos des Prouges est peut-être le vin de la gamme qui se montre d’ores et déjà le plus ouvert et superbement expressif, dans un registre d’une rare sensualité. A la fois floral et bien mûr, il combine à merveille la gourmandise de la poire juteuse, du beurre et du miel fin, avec une percussion minérale qui vous dynamise. Impressionnant Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Hors-Classe Tournant de Pouilly 2017 L'autre "Grand Cru" du Domaine, taillé pour la garde la puissance et la minéralité du sol, l'éclat exceptionnel du fruit autour des fruits blancs et des agrumes, la finesse et la sensualité du toucher de bouche, l'énergie et l'allonge stupéfiante de la finale, tout y est. Un must absolu, emblématique de ce que le Mâconnais peut produire de plus grand... Note moyenne des guides 94/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Hors-Classe Les Ménétrières 2017 Hors Classe que dire de plus ? Ce vin joue effectivement dans la catégorie des monstres sacrés », ceux que l’on se plaît à vénérer tant l’émotion qu’ils provoquent est grande, et le souvenir de leur dégustation, ému. Ce "Ménètrières" soyeux, intense et vertical rivalise sans forcer avec quelques-uns des meilleurs crus de Puligny. Note moyenne des guides 94/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Les Perrières 2017 Un Perrières dont la précision de structure et la minéralité scintillante impressionnent la complexité du terroir rejaillit avec une classe folle dans ce vin élégant, profond et ciselé. Le nez intense de pierre à fusil, de fleurs d'eau, d'agrumes et de fruits blancs crémeux annonce une bouche remarquable de droiture et de longueur. Magistral! Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Autour de la Roche 2016 Rescapé d'un millésime durement amputé par la grêle, ce magnifique et puissant Autour de la Roche impressionne par sa fabuleuse concentration. Mais ici, la sensualité du fruit mûr et de l'huile d'amande douce s'accompagne d'une minéralité marine, iodée, presque chablisienne, qui apporte une superbe sensation de fraîcheur. Lumineux ! Note moyenne des guides 91/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Autour de la Roche 2017 Dense, minéral et profond, "Autour de la Roche" est issu d’un assemblage de différentes parcelles aux sols variés, situées autour de la Roche de Vergisson. Ce Pouilly-Fuissé, sans concession, profondément ancré dans son terroir, impressionne par sa complexité. Avis aux amateurs des Perrières à Meursault ce vin est pour vous ! Note moyenne des guides 92/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Hors-Classe Les Ménétrières 2015 Effectivement "hors-classe", Les Ménétrières 2015 se hissent largement au niveau des meilleurs crus de Puligny et Chassagne-Montrachet! Le fruité est superbe, la maturité magnifique, la bouche pure, droite, délicatement crémeuse, révèle une allonge et une profondeur inouïes! Un must indispensable pour tout amateur de grands Bourgognes! Note moyenne des guides 94/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 3 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Perrières 2015 Un Perrières qui a tout d'un premier cru, tant sa structure impressionne la complexité minérale du terroir rejaillit avec une classe folle dans ce vin élégant, profond et précis. Le nez intense de fleurs blanches, de coing, de notes crémeuses et grillées annonce une bouche remarquable d'équilibre, de droiture et de longueur. Magistral! Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Autour de la Roche 2015 Parfaite introduction au style Ferret, à la fois franc et généreux, précis et profond, cette cuvée Autour de la Roche s'étire en bouche avec beaucoup de droiture et juste ce qu'il faut de gourmandise, entre fruits croquants, amande fraîche et délicates saveurs crémeuses. Un grans blanc juteux et minéral, aux délicieux accents fumés. Note moyenne des guides 91/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Hors-Classe Les Ménétrières 2014 Effectivement "hors-classe", Les Ménétrières 2014 se hisse largement au niveau des plus grands Meursault ou Chassagne-Montrachet! Le fruité est superbe, la maturité magnifique, la bouche pure, droite, délicatement crémeuse, révèle une allonge et une profondeur inouïes! Un must indispensable pour tout amateur de grands Bourgognes! Note moyenne des guides 94/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 3 % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Tête de Cru Perrières 2014 Un Perrières qui a tout d'un grand cru, tant le niveau d'expression et de structure impressionne la complexité minérale du terroir rejaillit avec une classe folle dans ce vin élégant, profond et précis. Le nez intense de fleurs blanches, de coing, de notes crémeuses et grillées annonce une bouche remarquable d'équilibre, de droiture et de longueur.... Note moyenne des guides 93/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité % Domaine J. A. Ferret Pouilly-Fuissé Autour de la Roche 2014 Parfaite introduction au style Ferret, à la fois franc, frais, précis et profond, cette cuvée Autour de la Roche s'étire en bouche avec beaucoup de droiture et juste ce qu'il faut de gourmandise, entre fruits croquants, amande fraîche et délicates saveurs lactées. Un grans blanc juteux et minéral, d'une belle élégance. Note moyenne des guides 92/100 Voir la fiche détaillée Bon d’achat Fidélité 2 % LesAfricains vivaient comme les Européens. En Afrique, avant l’esclavage, la vie des africains était assez similaire à celle des européens qui les ont asservi plus tard. Certains vivaient dans de grandes villes, d’autres dans des petites villes, d’autres encore vivaient à la campagne. Certains étaient riches, d’autres pauvres. Du 17 au 20 mai 2022, avec Balázs, nous sommes allés nous frotter à l’envers du Mont Blanc, certainement l’un des coins les plus sauvages du massif, surtout en cette saison. Après une première expérience ensemble plutôt convaincante, nous avons décidé d’aller visiter l’arête du Brouillard. Plusieurs variantes sont possibles pour atteindre le col Emile Rey et la partie sommitale commune, nous avons opté pour l’intégrale qui part du Lac des Marmottes en Val Veny et qui termine au Mont Blanc pour un dénivelé total de 3500 mètres et 7 km de parcours d’arête. Nous avons atteint le sommet du Mont Blanc le 19 mai après 3 journées bien remplies et 2 bivouacs à la belle. Lundi 21h30, on prend la route pour les Grandes » Alpes. Après un dodo en mode routier sur l’autoroute italienne et un levé matinal, nous arrivons en Val Veny. Bonne surprise du matin, la route a réouvert jusqu’au parking de Frêney et nous gagnons une bonne heure et demie. Sur la route, nous avons un superbe visuel sur la face sud du Mont Blanc et notre arête celle de gauche sur la photo du Col du Brouillard 3288 m jusqu’au Mont Blanc de Courmayeur 4748 m, en passant par la Pointe Baretti 4013 m, le Mont Brouillard 4069 m, le Col Emile Rey 4030 m et la Pointe Louis Amédée 4460 m. Un bon chantier s’annonce ! La colline boisée cache la première partie de l’arête que l’on voit mieux ci-dessous en arrière plan de l’Aiguille ronde » du Chatelet. Mardi 8h20 donc, fins prêts avec nos gros sacs sur le dos… Au menu du jour avancer ! Après un échauffement relativement roulant le long de la moraine du glacier du Miage, on attaque l’arête juste au dessus de la zone humide du Lac des Marmottes, la pente est raide et l’on tient parfois les touffes d’herbe avec les mains pour enrayer les déséquilibres causés par les gros sacs. Il fait très chaud, on se console en se disant qu’il fera bon au bivouac ce soir ! Quelques 1000 m de dénivelé plus tard, on attaque la grimpette, avec en apéro, les Aiguilles Rouges du Brouillard 3368 m. Assez vite, la neige apparaît, la quantité est trop faible pour que les crampons soit utiles surtout dans l’état avancé de transformation où nous la trouvons, mais nous sommes contraints de réfléchir » un peu pour passer au plus facile. Ci-dessous, Balázs dans une traversée sur feuillets mouvants. Le parcours des Aiguilles Rouges est beaucoup plus long et grimpant que ce que j’avais en tête et à 17h, nous avons à peine le visuel sur le Col du Brouillard. La suite de la course se dessine générant un sentiment mêlant excitation et … peur ! Nous arrivons au col à 19h, bien entamés, au dessus de nous la neige prend le dessus sur le rocher et nous décidons de bivouaquer ici pour profiter du regel, même médiocre, du lendemain. Un petit coup d’œil en arrière, nos aiguilles du jour pavanent dans les dernières lueurs du crépuscule. Nous ne trouvons aucuns emplacements de bivouacs rocheux et décidons de monter notre camp entre neige et rocher. En face de nous à l’ouest, les Aiguilles de Tré la Tête. Balázs a le smile, il déballe son nouveau joujou, un Thermarest confort -10°C flambant neuf ! Une popotte plus tard, nous sommes repus, c’est l’heure de l’emmitouflage. Malgré un rythme honnête, nous sommes encore bas sur l’arête et décision prise de mettre le réveil pour 2 h le lendemain. La courte nuit est douce et nous dormons bien. Mercredi 2 h, le bip retentit, c’est matinal mais nous sommes relativement reposés. Petite dégustation du mix avoine, amandes, fruits secs, capuccino latte concocté par Balázs et on se met en mouvement tranquillement. Comme prévu le regel est bof, en se faisant léger on reste en surface et tout d’un coup, on enfonce jusqu’à mi-cuisse … On est content de trouver des ilots rocheux … La lune est presque pleine et la nuit est claire, l’ambiance est dingue. Et puis ce sont les couleurs de l’aube qui s’invitent au spectacle. La journée s’annonce radieuse, sa majesté la Noire de Peuterey se dessine déjà dans le ciel. Nous avons chaussé les crampons dès le départ du bivouac, la course est devenu très mixte. Nous avançons bien de nuit et lorsque le soleil se lève, on est plus très loin de la Baretti. Quelle vue sur les Aiguilles de Peuterey, c’est dur de se concentrer sur son escalade ! Il est autour des 9 heures lorsque nous atteignons le Col Emile Rey, on a bien bossé même si toute cette neige ne nous permet pas de vraiment courir ». En contrepartie, l’ambiance est devenue patagonienne et on en prend plein les mirettes. A chaque fois que je me retourne vers Balázs pour le tchatcher je me dis oh putain con, c’est beau ! ». Très vite, nous sommes face au crux de la course, un petit bastion encaissé de 80 mètres. Il est arboré de charmantes sculptures sorbets prêtes à se péter la gueule au moindre coup de piolet. En général parcouru relativement sec, la montagne propose aujourd’hui une glace pourrie et de la flotte qui gerbe de toutes les fissures, sympa ! C’était plus ou moins prévisible mais quand on est devant ça fait toujours drôle … Ca protège quand même pas trop mal et je repère un piton jaune salvateur. Oui il est jaune, on devrait pas trop tirer dessus mais compte tenu des circonstances tout est permis et la lame du piolet se glisse parfaitement dans l’œil du piton. Un réta plus tard et je crie relais à Balázs, ouf ! Celui-ci me rejoint en 2 – 2, fumant ! La longueur suivante est plus cool puis il faut encore s’employer pour sortir dans la pente de neige qui nous sort des difficultés. Les passages peu raides sont encombrés d’eau ou de neige et on décide d’artifer une fissure raide où on trouve un Friend coincé … L’aventure ! On est mieux dans le névé de sortie mais pas franchement mieux, la neige est en soupe et dessous glace béton … Le piolet light me rebondit dessus à chaque ancrage. L’aventure ! Bon on arrête les conneries et on retrouve le caillou, re-ouf ! La suite redevient un petit peu plus conventionnelle »… Mais on brasse copieux dans la lourde, dès qu’on trouve un bout de caillou, on se rue dessus. On surplombe maintenant l’arête parcourue le matin et la veille, c’est assez splendide. On a comme atteint un point de non-retour. Quelques pentes de neige et mixte plus tard, on atteint enfin la Pointe Louis Amédée, nommée ainsi en l’honneur du Duc des Abruzzes Louis Amédée de Savoie. L’heure a filé, il est 17 heures. Face à nous, on peut observer les dernières difficultés pour atteindre la longue crête sommitale. On échange avec Balázs un petit regard qui en dit long, ce sera pour demain. Ce soir on pionce sur la Louis Amédée. Difficile de rendre en photos l’absolue dinguerie de ce bivouac, heureusement Balázs a immortalisé l’instant en vidéo. Ayant quelques notions de hongrois, je traduis en court sa pensée du moment Mayday, mayday, je suis séquestré par un fou, si quelqu’un m’entend, déclenchez tout de suite les secours » !!! L’endroit est magique, on se sent tout petit sur notre promontoire. A nos pieds, les grandes arêtes de l’Envers, les bassins du Frêney, du Brouillard et du Mont Blanc. Les nuages vont et viennent et lorsqu’il disparaissent, on a le droit à ce genre de paysage ; panoramique entre Tré la Tête et Mont Blanc. On se met tôt au lit » avec dans l’idée un départ entre 2 et 3 h comme la veille. On a du mal à estimer la durée du parcours qu’il nous reste jusqu’au sommet et la météo du lendemain sera peut-être un peu plus rude. On préfère bétonner. Il fait encore bien doux à 4500 m, pas de vent c’est presque trop beau. Vers 23 h, ce ne sont pas les ronfleries de Balázs qui me réveillent mais bien une pluie d’éclairs, d’abord la lumière puis quelques tonnements. Ce n’est pas encore sur nous, mais la proximité est inquiétante, je passe un coup de fil au PG qui check les dernières animations, l’épisode sera court et difficile de dire s’il sera actif sur le Mont Blanc. Finalement, plus de peur que de mal et nous seront épargnés, les prévisions seront passées complètement à côté de l’évènement … Jeudi 2h45, nous attaquons la varappe et ça gronde encore un peu au loin, on attaque la journée par un rappel gazeux même de nuit qui nous met tout de suite dans le bain et on oublie l’orage qui disparaît. La couche de neige est bien épaisse à présent et on prend le temps de tester les appuis avant de mettre du poids dessus … Nous arrivons au passage le plus grimpant de la journée encore de nuit, on fait cracher la frontale à plein tube pour trouver le cheminement, ça grimpe sec pour du 4+ les crabes aux pieds mais pas d’impasse on trouve la ligne de faiblesse, dément. Les pentes mixtes qui suivent sont plus conventionnelles et on sort sur la grande arête sommitale qui mène au Mont Blanc de Courmayeur un peu après l’aube. Ca commence à sentir franchement le sommet mais quelle bambée encore cette fin d’arête ! On est bien dans le timing et maintenant on profite à fond de la fin de la course. Je reviens en terrain connu au Mont Blanc de Courmayeur, c’est toujours rassurant surtout que nous l’avons trouvé, à présent, le fameux brouillard de l’arête du Brouillard ! Il est 10 h lorsque nous atteignons le sommet du Mont Blanc. Balázs a puisé tout au fond, mais aura été d’une grande vaillance. Il nous livre ses impressions en direct. Sous titre Mais bordel, personne écoute sur cette fréquence ? Je vous dis que ce mec va me flinguer, mayde mayde !!! ». Un petit coup de fil au PG pour leur dire que tout s’est bien fini concernant l’orage un grand merci à eux pour l’assistance à distance et on attaque la descente vers les Grands Mulets. Lorsqu’on bascule versant nord, retour du beau temps et abrités du vent, c’est le pied ! Il est 15h quand nous arrivons au refuge des Grands Mulets, quel accueil ! Pour une belle soirée et un repos bien mérité. Vendredi 12h30, on débarque à Cham poil pil pour le burger et la mousse et frais comme des gardons pour le retour au bercail, des images plein la tête. Un énorme bravo à Balázs, très solide à tous points de vue qui voulait faire une course le lendemain … Heureusement que j’avais un mot d’excuse. Une course bien mystique dans ces conditions, c’était dément, merci la montagne. Certains(non afrikaners) disent aussi que c'était mieux du temps de l'apartheid. Il y avait de l'emploi et les rues étaient plus sures. Il y avait de l'emploi et les rues étaient plus sures. Un crime contre l’humanité politiquement incorrect la traite des Slaves du VIIIe au XVIIIe siècle. Sait-on que le mot français esclave » vient du latin sclavus désignant l’homme slave asservi, terme apparu en ce sens en 937 dans un diplôme germanique puis largement utilisé dans les actes notariés gênois et vénitiens à partir de la fin du XIIe siècle pour finalement s’imposer dans les langues romanes et germaniques ? L’étymologie, encore plus explicite en anglais, révèle un fait historique le plus souvent ignoré non seulement du grand public, mais du milieu historien lui-même la traite esclavagiste exercée aux dépens des peuples slaves du VIIIe au XVIIIe siècle. Mr Alexandre Skirda, essayiste et historien d’origine russe, vient de consacrer à cet épisode tragique de l’histoire européenne un livre 1 qui comble une lacune de notre documentation française, et qui pourtant n’a guère suscité l’intérêt du public parce qu’on ne lui fait pas la publicité qu’il mérite. Comment s’étonner de la censure médiatique ? Ce livre met à la portée du grand public des faits irréfutables permettant de constater la réduction en servitude de millions de Blancs, soumis à une traite plus sévère encore que la traite atlantique des Noirs d’Afrique puisqu’elle s’accompagnait de castration, et vendus dans la plupart des cas à des acquéreurs musulmans un défi insupportable pour les canons de la repentance à sens unique instaurés par la loi Taubira de 2001 ! On peut avancer une autre explication de l’injuste occultation du livre de Mr Skirda il nous introduit dans le monde slave qui ne nous est guère familier, nos chercheurs étant affectés d’un tropisme anglo-saxon, et leur curiosité se heurtant en outre au barrage linguistique induit par des langues difficiles, bien qu’indo-européennes, et pour une bonne partie d’entre elles écrites en alphabet cyrillique. Ainsi le Belge Verlinden, qui avait entrepris entre les années 1940 et 1977 une volumineuse étude de l’esclavage aux temps médiévaux, après s’être penché sur Al Andalus et le monde méditerranéen, s’était arrêté au pied des Carpathes, faute de connaître les langues slaves dans lesquelles étaient rédigés les principaux documents. Mr Skirda vient donc à propos combler une lacune, par un ouvrage faisant la synthèse des études consacrées à ce thème, notamment de la monographie récente, non encore traduite en français, de l’historien russe Dimitri E. Michine 2. Notre auteur distingue nettement deux traites des Slaves la traite occidentale, qui s’exerça en Europe centrale, et la traite orientale, qui sévit de la Pologne à l’Oural. La première ne dura que 300 ans, du VIIIe au XIe siècle ; la seconde, qui débuta également au VIIIe siècle, dura quelque mille ans. Elles impliquèrent l’une et l’autre des peuples variés, qu’il s’agisse des victimes, les divers locuteurs de langues slaves répandus de la Bohême à l’Ukraine, de la Pologne aux Balkans, ou qu’il s’agisse, côté prédateurs, de nomades turco-mongols venus des steppes de l’Asie centrale, les Polovtses, les Khazars et surtout les Tatars, auxquels il faut ajouter les Francs et les Juifs rhadhânites 3 des Etats carolingiens, les Varègues de Scandinavie, les Gênois et les Vénitiens, enfin les Turcs ottomans, lesquels prirent part à ce crime contre l’humanité à diverses époques historiques. Notons que la traite des Slaves fut contemporaine des traites arabo- et turco-musulmanes qui ravagèrent l’Afrique Noire et de la guerre de course menée par les Barbaresques qui hantèrent les côtes de Méditerranée occidentale, un peu mieux connues grâce aux travaux de MM. Pétré-Grenouilleau, Tidiane N’Diaye, Robert C. Davis et Jacques Heers, pour ne citer que ceux-là. Le point commun qui rapproche ces différentes traites est qu’elles ont toutes, à quelques rares exceptions près, été entreprises pour le compte d’Etats musulmans qui furent les plus gros demandeurs d’esclaves de l’histoire. Les responsabilités de l’islam, civilisation esclavagiste par excellence » F. Braudel Depuis l’Hégire en 622, l’islam s’est répandu essentiellement par la guerre sainte ou djihad, aussi les Etats musulmans exigeaient-ils toujours plus d’esclaves – la religion mahométane justifiant la réduction des infidèles en servitude – pour mettre en valeur, administrer et policer des territoires qui s’accroissaient au fur et à mesure de leurs conquêtes, sans compter les besoins en soldatesque et en galériens pour mener la guerre sur terre et sur mer. La demande en femmes ne fut pas moins exigeante, non seulement pour accomplir les travaux domestiques chez les maîtres, mais aussi pour remplir les harems des califes, sultans et hauts dignitaires dont la religion aphrodisiaque engendrait une polygamie au sens large du terme puisqu’elle permet, outre les quatre épouses légitimes autorisées par le Coran, d’user d’un nombre illimité de concubines le plus souvent esclaves .C’est ainsi qu’Abd Ar Rahmane III, qui régna de 912 à 961 sur Cordoue, disposait d’un harem comptant 6300 femmes, eunuques et domestiques, le palais fatimide du Caire, Songeons aussi que l’avènement d’un nouveau maître pouvait exiger le renouveau du harem du défunt à Istanbul il arriva au XVIIe siècle qu’un vizir se débarrassât des favorites de son prédécesseur en les noyant dans le Bosphore, après avoir cousu les malheureuses dans un sac ; ce Barbe-Bleue enturbanné eut des imitateurs ! 4 La castration des esclaves, mortelle dans plus de la moitié des cas en ces époques de médecine rudimentaire, répondait à la stratégie millénaire de l’islam qui a toujours utilisé la démographie comme une arme de guerre. La stérilisation des immigrés esclaves évitait la submersion démographique des fidèles d’Allah par des étrangers infidèles. Aussi n’y eut-il pas plus de problème noir que de problème slave en Arabie Saoudite ainsi que dans les autres Etats islamisés sur la longue durée. Les eunuques n’étaient pas seulement préposés à la garde des harems, ils étaient aussi employés comme soldats, ou comme gardes prétoriens du calife ou du sultan tels les saqalibas d’Al Andalus. On comprend dès lors – rareté obligeant du fait de la non-reproduction par les naissances et de la mortalité des esclaves-militaires à la guerre – la nécessité constante d’en renouveler le contingent. Les musulmans disposaient grâce à leurs succès guerriers d’un immense trésor en métaux et objets précieux procurés par le pillage ; ils parvinrent aussi à contrôler par leurs conquêtes les mines d’or du Sud-Soudan le dinar et le dirhem dominaient le marché mondial du Haut Moyen Age ; ils purent donc payer à prix d’or les marchands de bétail à visage humain la demande stimulait l’offre et finançait la traite. La traite occidentale des Slaves La traite occidentale qui débuta au VIIIe siècle concernait ceux des Tchèques, des Moraves, des Slovaques, des Polonais, des Slovènes et des Croates de Slavonie qui furent razziés ou faits prisonniers dans les guerres les opposant à leurs agressifs et puissants voisins germains ou hongrois, quand ils ne s’opposaient pas en combats fratricides, comme il arriva parfois entre Tchèques et Polonais. Les prisonniers étaient acheminés vers Prague, grande plaque tournante de l’esclavage, puis à Verdun, le plus important centre européen de castration du Haut Moyen Age, pratique essentiellement réalisée par des Juifs dont c’était la spécialité en raison de leur familiarité avec le rite de circoncision ; les malheureux étaient ensuite acheminés vers Cordoue, capitale de l’Espagne islamisée depuis la conquête de Tariq. Le transport et la vente étaient assurés par les Rhadânites, nom signifiant en persan connaisseur des routes » par lequel on désignait les marchands juifs s’adonnant au trafic international ; leur itinéraire empruntait la vallée du Rhône et le port d’Arles. Les Esclavons de Slavonie pouvaient être enlevés à partir des côtes dalmates par des bandes armées, puis expédiés à Venise, où on peut encore voir le quai dit des esclavons » ; de là ils étaient transportés jusqu’en Al Andalus, nom de l’Espagne islamisée depuis la conquête de Tariq en 711. Ce matériau humain pouvait être réexporté vers d’autres pays musulmans la Syrie, l’Egypte, l’Irak ou le Maghreb. La traite occidentale prit fin au XIe siècle en raison des progrès de la Reconquista qui barrait la route aux Rhadhânites, en raison aussi de la fin survenue en 1031 du califat de Cordoue qui éclata en principautés rivales, les taïfas. Le développement économique, la christianisation des peuples slaves d’Europe centrale entre le VIIIe et le XIe siècle, leur structuration progressive en Etats La plus grande partie du commerce des Radhanites à travers l’Océan indien aurait été mené grâce à des bateaux côtiers telque ce boutre comparables à ceux des voisins germaniques influencés par le modèle de l’Empire romain, et dont la puissance régalienne se révéla capable d’assurer une certaine sécurité, ne furent pas non plus étrangers à la fin de la traite occidentale des Slaves. La traite orientale des Slaves Les peuples slaves qui s’étaient installés à l’est de l’Europe connurent mille années de vicissitudes établis sur des plaines immenses dépourvues d’obstacles naturels permettant d’assurer leur protection contre les envahisseurs, placés aux confins de l’Asie centrale parcourue par d’incessantes hordes nomades de pillards, il ne leur fallut pas moins de mille ans pour bâtir un Etat solide, capable de résister aux agressions étrangères. Paradoxalement, le premier Etat russe fut créé au IXe siècle par des Scandinaves du nom de Varègues qui avaient été appelés en renfort par les Ukrainiens en butte aux attaques des nomades polovtses, petchénègues et khazars, mais les chefs vikings songeaient avant tout à exploiter l’Ukraine comme une colonie dont la ressource principale était l’habitant qu’ils razziaient avec une habileté de chasseurs d’homme proverbiale, pour aller le vendre soit au nord, sur la plaque tournante de l’esclavage viking que fut Hedebut au Danemark, soit au sud à Byzance, capitale de la chrétienté d’Orient qui ne connut pas l’extinction rapide de l’esclavage touchant la chrétienté occidentale à la même époque. Peu à peu les Russes, dont le nom vient du suèdois ruotsi » signifiant rameurs », s’émancipèrent de leurs tuteurs païens ils obtinrent à partir de 964, sous Sviatoslav, des princes de leur sang et parlant leur langue, puis se convertirent en 988 au christianisme sous l’influence de missionnaires byzantins, et bâtirent un Etat qui dura jusqu’à la conquête mongole au XIIIe siècle, mais qui fut incapable d’enrayer la traite esclavagiste. Les Khazars, peuple turcomane plus ou moins judaïsé, expédiaient les victimes de leurs rapts vers l’est, à Itil, leur capitale située sur la Volga, de même qu’à Boulgar plus au nord, ainsi qu’à Boukhara et Samarcande, centres de castration et d’un commerce esclavagiste fructueux à destination non seulement de Bagdad, mais aussi de l’Extrême-Orient. Les Khazars quittèrent la scène de l’histoire au XIe siècle, éliminés par les Byzantins, tandis que les Varègues renonçaient à la traite au XIIIe siècle après leur conversion au christianisme et au travail productif. C’est alors que les Gênois, auxquels l’empereur latin de Byzance a confié la maîtrise de la mer Noire, entrent en scène pour deux siècles installés dans les anciennes colonies grecques qu’ils exploitent en intermédiaires d’une traite alimentée par les razzias mongoles au détriment de Slaves et de Grecs orthodoxes ou de païens abkhazes, tcherkesses ou tatars, ils ravitaillent l’Egypte des Mamelouks en jeunes garçons destinés à renforcer l’armée. Leurs rivaux vénitiens se taillent une petite part du marché servile, en se spécialisant dans l’exportation de femmes à partir de leur port de Tana sur la mer d’Azov. Chassés de la mer Noire par l’avancée des Turcs ottomans, maîtres de Byzance depuis 1453, les Italiens se replièrent sur la Méditerranée orientale et laissèrent la Crimée aux Tatars. Ce peuple turco-mongol converti à l’islam au XIVe siècle fut le plus féroce esclavagiste de l’histoire russe, menant des incursions ravageuses du XVe au XVIIIe siècle sur le monde russe. Vassaux des Turcs ottomans, les Tatars, ravitaillaient Istanbul et son empire en esclaves prélevés sur les terres des Slaves orientaux. Leurs déprédations prirent fin sous le règne de la tzarine Catherine II, victorieuse de l’Empire ottoman. Un bilan désastreux Le bilan humain de cette traite millénaire est fort difficile à quantifier, faute de documents, surtout pour les périodes lointaines. Entre le VIIIe et le XIIe siècle, Mr Skirda estime le nombre de victimes à plusieurs centaines de milliers d’êtres humains, auxquels il faut ajouter un million de prisonniers réduits à la servitude, s’ajoutant au million de tués du fait de la conquête mongole. L’Encyclopédie ukrainienne de 2002 a évalué à 2 M / 2,5 M le nombre d’esclaves prélevés par les Tatars sur l’Ukraine, la Biélorussie et la Moscovie entre 1482 et 1760, chiffre considérable si l’on tient compte de ce que la population de ces régions entre ces dates peut être estimée à 5 ou 6 M d’habitants. Une caravane de dromadaires en Algérie. La plus grande partie des échanges commerciaux menés par les Radhanites entre Tanger et la Mésopotamie aurait été effectuées à dos de dromadaire Le total des victimes de la traite des Slaves entre le VIIIe et le XVIIIe siècle est évalué en millions par Mr Skirda ; peut-être, si l’on veut être précis, peut-on avancer le chiffre de 4,5 M d’âmes, en se fondant sur le bilan de la traite barbaresque établi par Mr Davies à esclaves européens pour le seul domaine de la Méditerranée occidentale, sur une période quatre fois plus réduite. Ce prélèvement catastrophique a largement contribué au retard économique de l’Europe orientale par rapport à l’Europe occidentale. On ne suivra pas Mr Skirda sur certaines de ses conclusions par exemple lorsqu’il attribue la renaissance économique occidentale des Xe et XIe siècles aux profits réalisés par les marchands italiens grâce à la traite des Slaves, rejoignant le raisonnement des tiers-mondistes qui attribuent l’essor du capitalisme aux profits réalisés grâce à la colonisation ; on peut alors se demander s’il n’appelle pas à une nouvelle repentance qui s’ajouterait à celle que nous ordonne la bien-pensance gauchiste. De même ses sympathies pour l’anarchie l’empêchent-elles de réaliser le potentiel de protection assuré par la puissance régalienne d’un Etat exerçant le monopole de la violence au service de ses ressortissants c’est l’avènement de véritables Etats en Bohême, en Pologne ou en Russie qui mit fin aux intrusions prédatrices provoquant la réduction en servitude de leurs habitants. Ces restrictions mises à part, on ne peut que recommander la lecture d’un ouvrage qui nous révèle un épisode ignoré de l’histoire, dont la méconnaissance est source du préjugé voulant que les Blancs indo-européens aient toujours été les méchants exploiteurs de la planète, tandis que ceux qu’ils colonisèrent au cours des deux derniers siècles sont crédités des meilleures intentions du monde, puisqu’ils pratiquent une religion d’amour, de tolérance et de paix ». Abbon 12/07/2013 Notes 1 Alexandre Skirda, La Traite des Slaves l’esclavage des Blancs du VIIIe au XVIIIe siècle, Editions de Paris Max Chaleil, octobre 2010. Historien et essayiste, Alexandre Skirda, né en 1942 de parents réfugiés de la guerre civile, est un spécialiste du mouvement révolutionnaire russe. Il a publié dans la même collection Nestor Makhno, le cosaque libertaire, Les anarchistes russes, les soviets et la révolution de 1917, Le Socialisme des intellectuels de Makhaïski traduction et présentation. 2 Dimitri E. Michine, Sakalibas, slavanié v islamskom miré Sakalibas, les Slaves dans le monde musulman, 2002. 3 Radhânites aristocratie marchande du monde juif médiéval dont le nom persan, signifiant connaisseur des routes », évoque le rayonnement mondial de l’Orient à l’Europe et à l’Extrême-Orient. Mr Jacques Attali rend hommage à leur connaissance des langues les plus variées et à leur sens des affaires qui les rendirent indispensables dans les relations entre le monde arabe et la chrétienté, notamment au cours du Haut Moyen Age cf. Les Juifs, le monde et l’argent, Paris 2002. Des auteurs persans et arabes attestent le rôle des Radhânites dans la traite esclavagiste et leur spécialité de la castration des esclaves par exemple Ibn Kordabeh, maître des postes persan en 847, ou Ibn Hankel, auteur arabe du Xe siècle. 4 Georges Young, Constantinople des origines à nos jours, Payot, Paris 1948. Correspondance Polémia – 14/07/2013 Image Le marché aux esclaves – Jean Léon Gérôme, vers 1866 SoledadBravi, que l’on suit avec plaisir, et Hervé Eparvier ont fait acte de mémoire subtil, amusant, authentique mais va étonner leurs (jeunes) lecteurs branchés sur leurs 400 Bravi et leur Iphone. Ils vont nous prendre pour des survivants à parquer dans une réserve. C’était mieux avant, Rue de Sèvres, 10,50 € De L’esclavage irlandais en Amérique. En enfer ou à la Barbade, un livre écrit par Sean Callaghan révèle les vérités derrière les Irlandais qui ont été vendus en esclavage. Après la bataille de Kinsale 1601, les Anglais avaient capturé quelque 30 000 prisonniers militaires, créant ainsi une politique officielle de bannissement ou de transport. James II encouragea la vente des Irlandais comme esclaves aux planteurs et aux colons des colonies du Nouveau Monde. La première vente enregistrée d’esclaves irlandais a eu lieu en 1612 dans une colonie située sur le fleuve Amazone. En 1625, une proclamation officielle ordonna aux prisonniers irlandais d’être rassemblés et vendus comme esclaves aux planteurs anglais. Entre 1629 et 1632, un grand nombre d’Irlandais, hommes et femmes, furent envoyés en Guyane, à Antiqua et à Montserrat. En 1637, environ 69 % de la population de Montserrat était constituée d’esclaves irlandais. Il fallait acheter de nouveaux esclaves, de 20 à 50 livres sterling, des esclaves irlandais capturés et vendus pour 900 livres de coton. Les Irlandais sont devenus la plus grande source d’esclaves pour les marchands d’esclaves anglais. De 1641 à 1652, plus de 550 000 Irlandais ont été tués par les Anglais et 300 000 autres ont été vendus comme esclaves. Comme de plus en plus d’hommes étaient transportés, laissant leurs femmes et leurs enfants derrière eux, ils étaient aussi rassemblés et vendus comme esclaves. Les Irlandaises et leurs filles étaient de moins bonne qualité que les esclaves noires et étaient considérées comme des esclaves domestiques. En 1649, Cromwell entreprit une campagne de terreur en Irlande. Tous les soldats capturés ont été transportés pour être vendus en esclavage. Quelques mois plus tard, en 1650, 25 000 Irlandais étaient vendus à des planteurs à St. Kitt. Au cours des années 1650, plus de 100 000 enfants irlandais, généralement âgés de 10 à 14 ans, ont été enlevés à leurs parents et vendus comme esclaves aux Antilles, en Virginie et en Nouvelle-Angleterre. En fait, plus d’Irlandais ont été vendus comme esclaves aux colonies américaines de 1651 à 1660 que la population totale libre » existante des Amérique ! En 1652, Cromwell ordonna que les Irlandais soient transportés à l’étranger, à commencer par 12 000 prisonniers irlandais vendus à la Barbade. La fameuse proclamation To Hell or to Connacht » fut publiée le 1er mai 1654, confisquant toutes les terres irlandaises, et les Irlandais indigènes devaient déménager à l’ouest du Shannon ou être transportés aux Antilles. Pour accélérer le processus en 1657, la loi a été clarifiée comme suit Ceux qui ne parviennent pas à se transplanter dans Connaught ou Co Clare dans les six mois seront atteints de haute trahison… doivent être envoyés en Amérique ou ailleurs… les mers… les bannis qui reviennent doivent subir les souffrances de la mort en tant que criminels en vertu de cet acte, sans bénéficier du clergé. » Ce n’était pas un crime de tuer des Irlandais, comme les soldats étaient encouragés à le faire, mais la traite des esclaves rentable à ignorer. En conséquence, 52 000 Irlandais ont été vendus à la Barbade et à Virginia uniquement. 30 000 Irlandais et Indiennes ont été faits prisonniers et ont été transportés et vendus comme esclaves. En 1656, le Conseil d’État de Cromwell ordonna que 1 000 filles irlandaises et 1 000 garçons irlandais soient rassemblés et emmenés en Jamaïque pour être vendus comme esclaves à des planteurs anglais. De 1600 à 1699, peu de gens comprennent que plus d’Irlandais étaient vendus comme esclaves que d’Africains. Les contrats de service étaient un accord mutuel par lequel un agent vendait une période de temps en échange de son passage, en échange de quoi il recevrait un logement, de la nourriture, des vêtements et généralement un terrain à la fin du service. Mais les Irlandais étaient plus souvent une exception. Parfois, l’esclavage n’était pas enregistré en tant que tel ou pas du tout enregistré. À partir de 1625, les Irlandais sont vendus avec un seul objectif les esclaves. Il n’y avait pas d’entente, pas de protection, pas de choix. Ils ont été capturés et remis aux expéditeurs pour être vendus pour leur profit. Les profits étaient énormes, 900 livres de coton pour un esclave irlandais. Tout le monde dans le commerce d’esclaves d’Irlande a réalisé un profit, à l’exception de l’esclave. Les esclaves irlandais et africains étaient logés dans les mêmes installations et appartenaient au propriétaire de la plantation. Les planteurs devaient payer plus cher pour un esclave noir. Les Noirs africains coûtent généralement entre 20 et 50 livres sterling, contre 900 livres de coton environ 5 livres sterling pour un Irlandais. Les Noirs ont été mieux traités. Le pape et tous les catholiques romains étaient considérés comme un ennemi de Dieu et de la civilisation. Toute infraction a été traitée avec sévérité. Beaucoup d’Irlandais sont morts suite à leur traitement. Tuer un esclave irlandais ne fut pas un crime, mais une perte. Mais le Parlement avait besoin de protéger certaines esclaves. En 1677, le Parlement adopta la loi réglementant le traitement des esclaves dans les plantations britanniques, désignant les sanctions autorisées pour inclure les coups de fouet et les marques pour les délits d’esclaves commis contre un chrétien. Les catholiques irlandais n’étaient pas considérés comme des chrétiens, donc ces protections ne s’appliquaient pas. Les planteurs ont commencé à élever les Irlandaises parce que c’était rentable. Les enfants des esclaves étaient eux-mêmes des esclaves. Les planteurs ont alors commencé à élever des femmes irlandaises avec des hommes africains pour produire plus d’esclaves qui avaient une peau plus claire et un prix plus élevé. En 1681, une loi a été adoptée interdisant la pratique d’accoupler les esclaves irlandaises aux hommes esclaves africains dans le but de vendre des esclaves. » Non par considération morale, mais parce que les marchands d’esclaves y voyaient une concurrence. En 1691, à la suite de la bataille de la Boyne et de la défaite du roi James, la traite des esclaves irlandais disposait d’une nouvelle réserve de captifs prêts à être transportés. Au cours des 100 années suivantes, la politique est restée le transport d’hommes, de femmes et d’enfants irlandais, vendus comme esclaves, une politique de nettoyage ethnique. Finalement, en 1839, un projet de loi a été adopté en Angleterre pour interdire ces activités, mettant fin à la traite des esclaves irlandais. De L’esclavage irlandais en Amérique. En enfer ou à la Barbade, un livre écrit par Sean Callaghan,éd. Mainstream Publishing _ The White Slave, Richard Hildreth éd. Adamant Media Corporation. Sources EuroLibertés toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS ! Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés ! EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct. 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La montée d’un capitalisme du désastre, Actes Sud, 2008., l’auteure Naomi Klein mettait en garde contre les actions archibrutales des tenants d’un ultralibéralisme tout-puissant qui génèrent sidération et Thierry Noir est parti vivre à Berlin-Ouest au temps de la guerre froide. Artiste peintre en mal de sensations fortes, il était fasciné par l’atmosphère créative et internationale qu’il régnait dans la ville allemande. Petit à petit, il s’est mis à peindre sur le Mur, ce qui était interdit donc dangereux. Des visages colorés, des personnages naïfs, qui cristallisaient un besoin de respirer sous la chape de plomb. Depuis la Chute du Mur, Thierry Noir est devenu l’un des personnages clés de la vie berlinoise. Sur les 1,3 km qui restent de la sinistre muraille, transformés en toile ouverte aux artistes du monde entier sous le nom de East Side Gallery, il est l’artiste de référence. En une heure et demie, Thierry Noir nous a fait revivre l’époque du Mur de Berlin avec un art consommé de conteur. De sa voix douce et hésitante, il a eu les mots justes pour décrire la situation quotidienne des gens, l’ambiguïté des sentiments. Quand il a évoqué les lapins qui gambadaient entre les deux parties du mur, on avait l’impression d’y être. Ce n’était pas une vision politique, mais un témoignage humain, sensible, qui nous faisait d’autant mieux ressentir l’absurde des choses et la complexité du monde. C’était un vrai moment d’émotion et d’intelligence. Peut-être le meilleur de cette Semaine de Berlin. Voici son programme – Un morceau de musique classique que j’aime par dessus tout. Erik Satie »Gnossienne No 3″ Thibaudet 3 madeleines » musicales. David Bowie Heroes » Ennio Morricone My name is nobody » Michael Jackson Billie Jean » Musique classique Keith Jarreth The Köln Concert Part one » Franz Liszt Liebestraum Nr. 3 » Cziffra Chopin Nocturne » Pires Debussy Clair De Lune » François Debussy L’après-midi d’un faune » Boulez Erik Satie Gnossienne No 1 » Barbier Saint Saens Le carnaval des animaux, Le Cygne » Maïsky lIDBE vous propose le document «C'était tout de même mieux du temps des blancs» en consultation et téléchargement libre. pas de mail. pajenn degemer - staliad enlinenn - blog(où)

4 février 2021 4 04 /02 /février /2021 1803 Photographie Blanc-Seing *** Ces feuilles qui flottaient Existaient-elles au moins Ou les avais-tu imaginées Pour donner le change A la fuite du temps Pour fixer À ton irrésolution La vraisemblance Qu’il convenait De lui donner * Nous n’étions que Des passants D’étranges marcheurs Qu’une perte d’étoiles Égarait Le jour n’était mieux Semé De lueurs blanches Tu en disais la brûlure Le yatagan de lumière Qui entaillait ton corps La révolution intime Qui faisait ses tourbillons C’était une perte d’eau Qui jamais ne verrait De résurgence * Nous aurions pu Nous arrêter là Au bord du ruisseau Limpide Oter nos vêtements Offrir l’usure de nos peaux A l’ombre souveraine Nous asperger d’eau lustrale Commise à notre renaissance Certes nous aurions pu Mais n’avons rien tenté Qui eût provoqué La cassure De l’instant * Vois-tu il y a trop De destin Dans ce que nous faisons Trop de chemin Décidé d’avance Trop de clair-obscur Dans lequel nous posons Nos pas La lumière d’une joie L’ombre d’une tristesse Dont nous pensons être Les magiciens Mais nous ne sommes Que des êtres joués Des enfants sautant À la marelle Sûrs de leur Ciel Sûrs de leur Terre Alors que nous ne passons Que de Paradis en Enfer Le Purgatoire nous échappe Qui aurait pu Nous sauver de nous Nous demeurons Dans les murs De notre citadelle * Comment nous rejoindre Tant les continents Sont éloignés Regarde donc le fond De cette claire rivière Regarde l’arbre Qui s’y réverbère On les croirait confondus Dans le creuset D’une unique image Mais sais-tu il suffirait De froisser l’eau De la paume de sa main Et le charme se romprait Il ne demeurerait Sur la feuille d’eau Que quelque tourmente Quelque nuit hâtive Quelque jour poinçonné De vide Il ne demeurerait Qu’une solitude infinie Poncée au désarroi D’une énigme * Ma Naïade vêts-toi D’un peu de brume Cerne tes yeux De quelques gouttes Fais tinter le cristal De ta voix Elève-toi De cette longue plainte Qui n’est que le deuil D’exister Serais-tu simple chuchotis Crépitement de libellule Et tu aurais rejoint Le seul lieu dont ton être Soit capable Ce doute qui rôde Dans le gris de tes yeux * Longtemps nous avons rêvé Mais de qui donc De nous bien entendu Le vent semait son lamento Le long des coursives De nos corps A peine plus visibles Que le vide En son empreinte Qu’avions-nous à happer Sinon le double Que chacun tendait À l’autre Que l’image hallucinée Du temps * Le réel venait à nous Avec sa rumeur bleue De nous Nous étions dessaisis Nos silhouettes fuyaient Au-devant Telle accrochée au passé Sans mémoire Telle arrimée au futur Sans avenir Mieux valait en finir De ces errances Mieux valait être soi Et renoncer à voir Dans le miroir de l’eau Autre chose Qu’un mirage Qu’un éternel retour De qui l’on est A la face du monde Ce visage qui Jamais n’apparaît Qu’au reflet de l’onde Oui au reflet * Published by Blanc Seing - dans POETISER

Phasestechniques pour Beurre blanc ou beurre nantais : 1. Pour réaliser cette recette de beurre blanc, commencer par préparer tous les ingrédients. 2. Ciseler finement les échalotes à l'aide du coupe oignons "Alligator". 3. Mettre les

La pluie des derniers jours m’a donné envie de mettre du soleil dans nos assiettes. Et s’il y a bien une recette qui me donne envie de partir sous les cocotiers à rêver de sable blanc et d’eau turquoise c’est le poulet au lait de coco. Un plat doudou, super parfumé et très rapide à préparer, qui plait à toute la famille, que demander de mieux ? Comme je fais toujours attention en ce moment, j’ai allégé ma recette pour qu’elle soit un peu plus légère. J’ai remplacé a moitié du lait de coco par du bouillon de volaille et j’ai utilisé des filets de poulet, moins gras que des cuisses. Le tout était extra ! Accompagné de nouilles asiatiques et de quelques légumes vapeur c’était un plat complet vraiment parfait pour bien commencer la semaine. Quels ingrédients pour le poulet au lait de coco ? Filets de poulet quand on voit parfois la qualité des produits proposés pour des filets de poulet, je me dis qu’avec la viande et la volaille j’ai la bonne option -> on en mange moins mais de qualité. En grande surface je prends de la volaille locale élevée en plein air, Label Rouge Volaille du Gers ou des Landes, sinon j’achète mes poulets et découpes de poulet à la Ferme de Vertessec dans le Médoc. Les produits sont topissimes ! Lait de coco regardez la composition, certains ont des additifs, et épaississants. J’opte pour des marques bio 100 % coco, sans eau ni sucre ni produits texturants. J’aime bien la marque Kara en Grande Surface, ou Base Organic Food en épicerie bio. Bâtons de Citronnelle je les achète en épicerie asiatique, ca doit coûte moins de 2 euros les 4 ou 5 bâtons. J’aime beaucoup les utiliser, ça parfume agréablement les recettes, et c’est plus subtil que la citronnelle sèche en poudre. L’autre option c’est celle émincée que l’on trouvez chez Picard, mais il faut la mettre dans une mousseline ou une boule à thé, car elle est en petits morceaux impossibles à enlever en fin de cuisson. Curry en poudre utilisez celui que vous aimez. Moi en ce moment c’est le curry breton de chez Terre Exotique. Il n’est pas fort et j’aime bien son p’tit côté iodé apporté par la pointe d’algues qui est dans le mélange. Bouillon de volaille vous pouvez utiliser du bouillon cube, ou bien mieux un bouillon maison à faire avec un reste de carcasse d’un poulet rôti, à faire cuire une heure dans une grande cocotte avec quelques légumes. Je le laisse ensuite refroidir puis j’enlève le gras qui fige à la surface, il est plus léger. Vous pouvez le faire en avance et le congeler en portions de 20 à 50 cl, c’est super pratique pour les recettes. Temps de préparation10 minutes Ingrédients 4 filets de poulet fermier 2 oignons 2 gousses d’ail 3 à 4 bâtons de citronnelle 1 cuillère à café de gingembre en poudre 1 cuillère à café de coriandre en graines 2 cuillères à café de curry 30 cl de lait de coco 30 cl de bouillon de volaille Sel, poivre Instructions Rincer les bâtons de citronnelle. Couper la base, les émincer en 4 dans la longueur, puis les couper en deux ou en trois morceaux. Peler et émincer l’oignon, peler et écraser l’ail avec la lame du couteau. Faire colorer le poulet découpé en morceaux dans une sauteuse avec un peu d’huile. Saler. Ajouter les oignons, l’ail et la citronnelle. Saupoudrer avec les épices, et faire revenir le tout pendant 10 minutes. Mouiller avec le bouillon, ajouter le lait de coco. Couvrir et laisser mijoter pendant 15 minutes. Rectifier l’assaisonnement en fin de cuisson et enlever la citronnelle avant de servir. © 2022 Copyright © 2020 Audrey Cuisine. Tous droits réservés. Tags Terre ExotiqueBlanc de pouletFilets de pouletlait de cocopouletcurry breton Navigation de l’article

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